Il s’agit là aussi d’une question classique posée par les jurys, et qui sert par ailleurs à savoir si le candidat s’est projeté dans l’école. Le candidat doit se rappeler qu’être jury est une responsabilité : il a en main la validation (ou non) de deux à trois années de travail acharné. Il ne s’agit donc pas d’un exercice qu’il prend à la légère. Et pour pouvoir accepter plus facilement l’étudiant, il a besoin d’être rassuré et d’obtenir des garanties sur la suite de son parcours. Cette question doit servir pour l’étudiant à les lui donner.
Tout d’abord, un étudiant doit comprendre que sauf cas exceptionnel, il lui sera difficile de « révolutionner » une institution qu’est l’école de commerce. Inutile donc les vagues et futiles « Je ferai en sorte que l’école reste en haut des classements » (NB : déjà entendu !), « Je lui apporterai une visibilité à l’international » (NB : Idem !) ou enfin, « Mon cousin travaille chez IKEA, je pourrai donc faire en sorte d’établir un partenariat entre l’école et IKEA » (sauf bien sûr, si votre cousin en a le pouvoir…).
De la même manière, le candidat doit éviter les réponses trop vagues telles que « J’apporterai à l’école de commerce ma rigueur » ou bien « Je serai dynamique au sein de l’école » qui finalement ne permet pas de projeter et donc de rassurer le jury. Voici ici trois règles à tenir pour le candidat lors de la réflexion sur cette question.